Les longs Vendredi caramelisés ...
Souvent quand on va à un lieu inconnu, dont on a déjà entendu parlé, on est déçu à la découverte.
Déçu parce que l'inconnu génère toujours une idée de perfection, alors on se dirige vers ce lieu, en l'imaginant être comme on le voudrait. Il aurait beau être magnifique, on serait tout de même déçu, ne serait-ce que par cette réalité inattendue dans laquelle on a basculé.
On devrait aprendre à toujours accepter les choses comme elles nous viennent, et avoir cette ouverture d'esprit envers tout ce qui nous est offert au quotidien, sans aprioris.
J'ai revu Caramel, de Nadine Labaki. La première fois que je l'ai visionné, je m'attendais à un certain type de film, qui s'est avéré être dans un tout autre registre.
Aujourd'hui, j'ai mieux aimé les personnages, mieux apprécié les histoires que j'ai mieux comprises aussi, faut l'avouer. J'ai été plus touchées par certaines scènes, et par la douceur des petites
chansons libanaises : "مْريْتي يا مْرَيْي" et "سُكـّـر يا بنات"
Les dialogues étant en dialect libanais, je n'ai pas tout saisi hier. M'enfin, je conseille Caramel à qui ne l'a pas encore vu, et vous laisse avec un morceau de la BO du film, composé par Mouzanar Khaled.
Eloge à la beauté de la femme à travers "sukkar ya banat" (le sucre des filles)
La mélodie est si douce, que ça me rappelle des souvenirs d'enfance, qui mêlent aux odeurs de la peinture à l'eau et la pate à modeler, la voix de la grande Fairuz qui passait à la télé.
Déçu parce que l'inconnu génère toujours une idée de perfection, alors on se dirige vers ce lieu, en l'imaginant être comme on le voudrait. Il aurait beau être magnifique, on serait tout de même déçu, ne serait-ce que par cette réalité inattendue dans laquelle on a basculé.
On devrait aprendre à toujours accepter les choses comme elles nous viennent, et avoir cette ouverture d'esprit envers tout ce qui nous est offert au quotidien, sans aprioris.
J'ai revu Caramel, de Nadine Labaki. La première fois que je l'ai visionné, je m'attendais à un certain type de film, qui s'est avéré être dans un tout autre registre.
Aujourd'hui, j'ai mieux aimé les personnages, mieux apprécié les histoires que j'ai mieux comprises aussi, faut l'avouer. J'ai été plus touchées par certaines scènes, et par la douceur des petites
chansons libanaises : "مْريْتي يا مْرَيْي" et "سُكـّـر يا بنات"
Les dialogues étant en dialect libanais, je n'ai pas tout saisi hier. M'enfin, je conseille Caramel à qui ne l'a pas encore vu, et vous laisse avec un morceau de la BO du film, composé par Mouzanar Khaled.
Eloge à la beauté de la femme à travers "sukkar ya banat" (le sucre des filles)
La mélodie est si douce, que ça me rappelle des souvenirs d'enfance, qui mêlent aux odeurs de la peinture à l'eau et la pate à modeler, la voix de la grande Fairuz qui passait à la télé.