La rose et les esseulées
La vie ne saurai se distinguer de la mort
Si l'on est seul à se voir et se savoir vivant
Et la beauté ne se distinguerait pas du néant
Si l'on est seul à s'admirer dans un miroir
Ils disaient qu'une rose, même sous un autre nom
Sentirait toujours aussi bon
Mais qu'importe les noms et les senteurs
Si elles ne chatouillent les papilles d'aucun admirateur ...
Prise chez moi à Alger, avant le coucher du soleil